CINÉ-ART | ANAÏS IBERT
Description
En parallèle de ses cours d’Histoire de l’Art, Martine Baransky vous propose un rendez-vous mensuel cinéma.
Projection de ses courts-métrages et rencontre avec Anaïs Ibert, cinéaste, photographe et plasticienne.
Elle a commencé ses études cinématographiques au Collège Lycée Expérimental d’Hérouville Saint Clair en Normandie en 2001. Après avoir créé l’association Train de Nuit avec Victor de Las Heras, ils co-réalisent ibü et Folia.
Elle réalise ses films comme ses collages, travaillant avec plusieurs personnes qui apportent chacune leur touche artistique au projet.
« Dans ses photographies, ses collages et films, Anaïs Ibert cherche et trouve dans le réel, des univers parallèles peuplés de poésie, d’étrange, de rythme, de musique et de ce sentiment indicible du Tragique. »
Courts-métrages programmés :
★ ibü / Court métrage d’animation traditionnelle d’objets / 8min30 / DV / 2009 / Co-réalisation : Victor De Las Heras
Ibü cherche, trébuche. Il renifle, il observe. Dans le noir profond, son chemin s’éclaire au fil de ses pas…et de nos pas avec lui. Mais où va ibü ?
★ Bonne année 2012 ! / Carte de voeux / 02min / DV / 2012 / Co-réalisation : Victor De Las Heras
» Pensées nobles et sentiments indignes
Sensations brûlantes et froideur
Tout ça se trouve dans notre petit coeur
Le destin l’y a mis.”
★ Folia / Court métrage musical / 11min30 / 16mm sur vidéo / 2014 / Co-réalisation : Victor De Las Heras
Folia est une pièce pour contrebasse solo écrite en 1995 par la compositrice finlandaise Kaija Saariaho. Ce film rend compte d’une vision possible de l’oeuvre à travers l’interprétation de la contrebassiste Charlotte Testu et le regard de deux cinéastes.
★ Bonne année 2014 ! / Carte de voeux / 02min30 / 16mm sur vidéo / 2014 / Co-réalisation : Victor De Las Heras
Ne soyez pas timides, dites-le, faites-le savoir à tout le monde. Soyez bons avec elle, elle sera bonne avec vous.
★ Malagueña – film-collage 1 / Court métrage de fiction / 11min / s8 et 16mm sur vidéo / 2015
Malagueña traite de la ville qui nous dépasse, qui nous enveloppe, qui nous protège. Il parle aussi de quatre personnes qui habitent cette ville, et d’une image de l’amour.
★ Portrait-collage – Jacques Ibert / Film-portrait / 03min / 16mm sur vidéo / 2015
« Quand tout glisse entre les doigts, finissent par s’échapper des oiseaux » Jacques Ibert
★ Portrait-collage inachevé / Film-portrait / 04min / s8 et 16mm sur vidéo / 2016
Film non terminé, sa finalisation ayant été interrompue par sa commanditaire. « J’ai un cafard monstre à l’idée que mon travail reflète à ce point la tristesse, si peu d’énergie, sans vie … tu ne peux pas me vendre un film pareil … » !
★ Film-collage 2 – introduction / Court métrage de fiction / 06min / s8 et 16mm sur vidéo / 2018
L’impossibilité à communiquer ne peut-elle être compensée par la capacité à ressentir ? Astrid Defrance « Les écritures dramatiques (post)modernes : le traducteur à l’épreuve du sens et des sens »