💥🍉CINÉMA-MONDE ★ PUT YOUR SOUL ON YOUR HAND AND WALK + RENCONTRE SUR LA SITUATION DES JOURNALISTES À GAZA (PALESTINE)

La photo-reporter gazaouie Fatma Hassona est morte en avril dernier sous les bombes israéliennes. La réalisatrice franco-iranienne Sepideh Farsi l’a filmée, lumineuse, dans un documentaire vibrant et radical. Présenté au Festival de Cannes 2025, Put your soul on your hand and walk de la réalisatrice franco-iranienne Sepideh Farsi a laissé les cœurs en ruine. Avec le Collectif Palestine 14 et le chercheur gazaoui Hisham Abu Shala, c’est l’occasion de faire le point sur la situation des journalistes à Gaza.

« Put your soul on your hand and walk est ma réponse en tant que cinéaste, aux massacres en cours des Palestiniens. Un miracle a eu lieu lorsque j’ai rencontré Fatem Hassona. Elle est devenue mes yeux à Gaza, où elle résistait en documentant la guerre, et moi, je suis devenue un lien entre elle et le reste du monde, depuis sa « prison de Gaza » comme elle le disait. Nous avons maintenu cette ligne de vie pendant presque un an. Les bouts de pixels et de sons que l’on a échangés sont devenus le film que vous voyez. L’assassinat de Fatem le 16 avril 2025 suite à une attaque israélienne sur sa maison en change à jamais le sens ». Sepideh Farsi

Hisham Abu Shahla est doctorant en sciences politiques au Centre de Recherche et d’Étude en Droit et Science Politique de l’Université de Bourgogne. Il effectue ses recherches sur la question palestinienne, notamment sur la trajectoire politique de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP). Palestinien de Gaza, Hisham Abu Shahla a obtenu un diplôme en économie et sciences politiques avec un mémoire sur la politique étrangère de la France au Moyen-Orient. Il a ensuite poursuivi ses études en politiques publiques européennes à l’Université de Nantes où il a fait ses recherches sur les relations entre l’Union Européenne et l’Autorité palestinienne.

Festival de Cannes 2025 • Sélection ACID

➡️ La projection de Put your Soul on Your Hand and Walk est suivie d’une discussion avec le chercheur gazaoui Hisham Abu Shala et le Collectif Palestine 14.

Avec le soutien dXXXXXXXXXX