« Dans une Amérique pavillonnaire à la fois surannée et intemporelle, un gamin solitaire (l’éternel double du cinéaste adolescent) redonne vie à son chien fidèle, écrasé par une voiture. La résurrection, inspirée d’un cours de sciences, se fera sur le modèle des expériences électriques du baron Frankenstein — d’où le patronyme du gamin. Cimetière sous la lune filmé en noir et blanc, Amérique qui s’ennuie, hommage aux classiques de l’horreur : bienvenue en Burtonland ». Télérama