En clôture d’une journée de réflexion et rencontres autour de la citoyenneté et de l’engagement des jeunes des quartiers organisé par SOS Racisme et dans le cadre de leur campagne Salam, Shalom, Salut*
projection du film  LES PROMESSES de Thomas Kruithof, suivie d’une rencontre avec :
• Gérard Leseul, Vice-Président de la Mission parlementaire d’information visant à identifier les ressorts de l’abstention et les mesures permettant de renforcer la participation électorale
• Saphia Aït Ouarabi, vice-présidente de SOS Racisme
• Anne Guérin, présidente du comité Caen
• Samuel Lebas, directeur de la mission locale de Caen la mer
• et avec la participation d’associations œuvrant pour les jeunes sur les quartiers d’Hérouville.

Dans Les Promesses, Thomas Kruithof explore à nouveau une « mécanique de l’ombre » après le thriller avec François Cluzet sorti en 2017 : celle des tractations politiques. Après l’élection présidentielle de 2017, le réalisateur voulait s’intéresser au courage politique et il lui a semblé que c’est à l’échelon local qu’il persiste. Il a alors rencontré Jean-Baptiste Delafon, le co-créateur de Baron Noir, qui travaillait sur un portrait de maire de banlieue.

« Le film passionnant de Thomas Kruithof met en scène la maire d’une ville anonyme et déshéritée de Seine-Saint-Denis confrontée à d’innombrables difficultés et aux pièges de la politique incarnée une par Isabelle Huppert irréprochable. Captivant du premier au dernier plan. «  Les Echos

* »SALAM, SHALOM, SALUT« 
QU’EST-CE QUE C’EST ?
Jeunes de toutes origines et de tous milieux sociaux, SALAM SHALOM SALUT part en tour de France, à la rencontre de leurs concitoyens afin d’exprimer leur volonté de vivre ensemble et de transmettre le goût de s’engager contre le racisme, l’antisémitisme, les discriminations et pour l’égalité. Dans une France où le débat médiatique pousse à la division et au repli identitaire, ce projet invite la jeunesse à reprendre sa place dans l’espace public et médiatique en recentrant les débats et en abordant les questions d’identités autrement qu’à travers des dynamiques de haine ; afin de rouvrir le dialogue sur des sujets sensibles de l’actualité, et de créer des espaces d’engagement citoyen